ESPRIT LIBRE ft. Otake Lyrics

Comment commencer l'EP

Déjà, j'ai changé de climat j'ai déplacé le bureau de la chambre

Une flemme intense, je prends l'air en mettant ma tête par la fenêtre

En pyjama du matin au soir j'ai zappé le réveil

Et je matte mes LEDs qui remplacent le soleil

Fin de la journée, enfaite le rap c'est que de la remise en question

J'me dis j'ai a demi raison

J'évite le bonheur car j'ai peur du karma

Au dix septième tome de la saga

Déjà le temps passe vite comme Sonic de Sega

J'reste dans mon lit en attendant la suite

Manier l'ennui pour accepter le vide

J'vis pour essayer d'éviter le taff

Mon corps prends des coups comme un sac de frappe c'est a ça que je sers

A gagner le smile même quand je perds

Bref, retour a la ligne

Vécu dans un bar j'suis bercé par la scène

Et je rêve, d'une guerre contre des aliens

Que l'humain se réunisse

Et redevienne une seule et même espèce

Je me dis heureux les simples esprits

Et donc heureux d'avoir un esprit libre

Elle m'appelle en pleine nuit, elle me dit

Aide moi pourquoi t'es pas la

Aime moi j'ai besoin de toi

Et que c'est bientôt son heure de partir

J'pete un câble, je m'énerve, je l'engueule

Lui expliquant qu'il faut pas qu'elle reste seule

La mort est douce mais pas pour celui qui meurt seul

Nan, nan, nan j'suis pas de ce monde moi

Nan, nan, nan je l'imaginais pas comme ca

En enfance le monde est rose

Plus tu grandis, plus tout devient morose

J'débarque sur un tout nouveau thème

Les haineux, c'est pour me faire de la fame

J'ai qu'un rêve monter sur scène

La haine, m'empêche qu'on s'aime

J'suis en surcis, des soucis, vient on s'aime, oh nan

Ça part en pogo dans la foule

A minuit trente on part on roule

C'était la paix que je voulais

Être moi

Dans l'univers sans raison

A deux dans une chambre on produit des sons

Baisse pas les bras

Sur terre y a sept milliard d'humains

Un monde sans lendemain

T'as capté le monde sans Biff c'est rien

C'est dans la merde qu'on tisse nos liens

Sur terre y a sept milliard d'humains

Un monde sans lendemain

T'as capté le monde sans Biff c'est rien

C'est dans la merde qu'on tisse nos liens

Et si je pars un jour, est ce qu'on me retiendra

J'suis pas de ce monde la, mais je baisse pas les bras

J'y crois en l'amour avec cette fille la

Mais est ce que tu penses à moi

Avant j'rêvais de faire des mangas

J'ai tout lâché pour le pe-ra

Faut que j'arrive à garder le mental

Même en école élémentaire

Quand j étais petit

A trois on faisait des cabanes en bois

Maitenant j'suis maudit

J'ai peur d'être différent sans être spéciale

J'revois cette fille dans le High school

Au fond de la file j'vois ses yeux doux

Elle avait l'air timide mais dans son je t'aime y avait pas d'amour

Et tous les jours, la même histoire

J'deviens un fantôme qui a peur du noir

Chaque soir j'attends d'être demain

Le libre esprit pour les humains

J'entends des voix qui m'appellent

Au réveil, je me retrouve dans les bras de ma mère

Voulu partir mais j'ai peur de l'enfer

M'aimer c'est vrai mais y en avait pas l'air

J'reçois des critiques et des remarques

C'est grâce à ma tâche que je me démarque

Voilà d'où viens mon blaz

Stain découpe sur une prod de jazz

Quand j'avais onze ans, apparition maladie

Le stress devient maladif

La peau commence a blanchir

On me dit faut pas réfléchir

Nan, nan, nan

J'ai mes deux parents, encore en vie

Mais c'est chacun son côté

La maman est seule m'a prend à vivre

Le daron lui

Me forge l'esprit libre

C'était la paix que je voulais

Être moi

Dans l'univers sans raison

A deux dans une chambre on produit des sons

Baisse pas les bras

Sur terre y a sept milliard d'humains

Un monde sans lendemain

T'as capté le monde sans Biff c'est rien

C'est dans la merde qu'on tisse nos liens

Sur terre y a sept milliard d'humains

Un monde sans lendemain

T'as capté le monde sans Biff c'est rien

C'est dans la merde qu'on tisse nos liens

Et si je pars un jour, est ce qu'on me retiendra

J'suis pas de ce monde la, mais je baisse pas les bras

J'y crois en l'amour avec cette fille la

Mais est ce que tu penses à moi