HISTOIRE NAUFRAGE Lyrics

Priez, priez, priez, encore une fois

Tu braves la haine que t'éprouves pour me tomber dans les bras

Encore une nuit en silence

Un silence froid et cru

Toi et moi sur un scene vide blanche éclairée d'amertume

Priez priez priez, encore une fois

Pour effacer tous les malheurs de notre histoire naufrage

Plus je t'aime plus j'enrage, écris tes rancœurs dans la marge

J'essaye de rester calme malgré la masse de pensées trash

Que j'me trimbale à l'arrière du vau-cer

L'atmosphere est irrespirable,

qu'est-ce qu'on peut bien y faire ?

Se détester c'est d'jà fait et s'engueuler aussi

Visage triste à travers la flamme de ton briquet qui vacille

Fuck ! On s'est mis des coups

Tu m'dis qu'j't'ai blessée, si je t'aime

Pourquoi j'm'en bats les couilles ?

Ecoute mes arrières pensées car plus rien n'est vraiment censé

Bien finir on a fini dans la prison qu'on s'est construit

Babe détruis les barrières, enfuis-toi par la porte secrète

Loin d'la forteresse, laisse-moi tirer dans le ciel

Si tu t'envoles, si je touche l'aille laisse-moi

Prier, prier, prier, encore une fois

Pour effacer tous les malheurs de notre histoire naufrage

Plus je t'aime plus j'enrage, écris tes rencoeurs dans la marge

Face à la médiocrité de nos sales habitudes laches

Je prierai, prierai, prierai, encore une fois

Pourvu qu'les étoiles s'alignent, qu'on se retombe dans les bras.

C'est moche mais c'est la fin, fumer des joints n'y changera rien

Arrache les pages du roman, verre de rhum ou verre d'absinthe

Va-t'en au pire, car on ne vit plus dans la même dimension

J'ai plus la patience, pour ton insolence

L'époque de tes petits mensonges

Tes mots tranchants comme les rails, rails de coke.

Que tu prenais le soir en me disant lache-moi la grappe j'ai

Plus l'âge pour tes remarques de darons, laisse-moi

Et moi j'ai l'air de quoi ? à t'aimer comme un teu-bé,

J'te voulais avec moi précisément parce que t'était tarée,

Ma part de raison faillit, t'es comme une gosse qu'on trahit

Je t'aime à tord y'a plus qu'les couteaux d'la cuisine pour trancher

Tu détestais tellement être sobre que t'as fini par vriller

Les menaces et les insultes ça m'aide pas à vouloir te baiser

Ton nez est jamais vide, t'es qu'une salle gosse de riche,

Je t'aime à tord y'a plus qu'les couteaux d'la cuisine pour trancher

Priez priez priez, encore une fois

En espérant revoir tes yeux s'ouvrir entre les draps

Cherie arrête d'être triste et faire l'amour c'est de la triche

Quand on ne s'aime plus c'est mort on accepte notre destin morbide

Donc j'ai prié , prié, prié, encore une fois

Pourvu qu'les étoiles s'alignent,

Qu'on se retombent dans les bras.

Plus rien n'est comme avant tes cigarettes comme pensements

Comme si un jour notre histoire pouvait renaitre de ses cendres